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- 48 observations
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4
communes -
14
observateurs -
Première observation
2005 -
Dernière observation
2024
*Attention, l'ensemble des données présentées sur cette fiche est calculé et/ou diffusé à partir des données bancarisées sur
KaruNati,
la plateforme régionale du Système d'Information de l'iNventaire du Patrimoine naturel (SINP) de la Guadeloupe.
Les répartitions spatio-temporelles présentées sur cette fiche sont indicatives et ne peuvent être considérée comme une réalité exhaustive des
caractéristiques phénologiques de ce taxon, n'étant fondées que sur des observations ponctuelles.
Informations espèce
Description :
Le Pluvier argenté est un oiseau limicole massif de taille moyenne (environ 29 cm pour 240 g). Il s'agit du plus grand des pluviers. Il possède des pattes gris foncé et un bec noir court droit et épais.
En vol, son envergure est d'environ 74 cm, et on peut y apercevoir un patch noir sous ses ailes et la base blanche de sa queue.
Son plumage se modifie au cours de sa vie.
Plumage nuptial : contrasté, dos sombre parsemé de taches blanches ; poitrine et face noires ; bas du ventre blanc ; calotte grise ; bande blanche sur la nuque se prolongeant de chaque coté du cou.
Plumage juvénile et hivernal : plus terne ; dos gris foncé tacheté de blanc ; ventre gris clair moucheté de brun ; sourcil blanc peu marqué.
Répartition :
Le Pluvier argenté se reproduit, sur les côtes et à proximité, dans l’ensemble de l'Arctique.
Espèce cosmopolite, il hiverne sur les côtes des Amériques (du Nord, centrale et du Sud), de l’ouest de l’Europe, d’Afrique, du sud de l’Asie, d’Indonésie et d’Australie.
Ils quittent les aires de reproduction entre juillet et septembre. Les juvéniles partent 5-6 semaines après les adultes.
La migration pré-nuptiale commence en avril. Les juvéniles et les autres non-reproducteurs restent dans les quartiers d'hivernage ou migrent partiellement vers le nord au cours de leur premier été.
Habitat :
Les oiseaux du continent américain nichent dans le haut Arctique canadien, dans la toundra où le sol est caillouteux et la végétation est rase.
En hivernage, il fréquente davantage les vasières et les plages ; mais également les marais salins et les prairies pour se nourrir et se regrouper en reposoir.
Il est commun sur l'archipel, il y est un hivernant régulier. Il peut être observé toute l’année, mais il est le plus abondant d’août à mars.
Il se rencontre sur les vasières, les lagunes et les plages.
Conservation :
Le Pluvier argenté est inscrit dans la liste des espèces "à préoccupation modérée" au Canada. La population américaine est jugée en léger déclin en 2019.
Statut de conservation mondial (2019) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Menaces : perte de ses habitats, chasse durant sa migration, sensible aux dérangements humains sur ses sites d'hivernage (plages).
Réglementation :
La chasse du Pluvier argenté est autorisée à certaines dates en Guadeloupe, soumise à quota.
Pour les dates, il faut se référer à l'arrêté préfectoral.
Le Pluvier argenté est un oiseau limicole massif de taille moyenne (environ 29 cm pour 240 g). Il s'agit du plus grand des pluviers. Il possède des pattes gris foncé et un bec noir court droit et épais.
En vol, son envergure est d'environ 74 cm, et on peut y apercevoir un patch noir sous ses ailes et la base blanche de sa queue.
Son plumage se modifie au cours de sa vie.
Plumage nuptial : contrasté, dos sombre parsemé de taches blanches ; poitrine et face noires ; bas du ventre blanc ; calotte grise ; bande blanche sur la nuque se prolongeant de chaque coté du cou.
Plumage juvénile et hivernal : plus terne ; dos gris foncé tacheté de blanc ; ventre gris clair moucheté de brun ; sourcil blanc peu marqué.
Répartition :
Le Pluvier argenté se reproduit, sur les côtes et à proximité, dans l’ensemble de l'Arctique.
Espèce cosmopolite, il hiverne sur les côtes des Amériques (du Nord, centrale et du Sud), de l’ouest de l’Europe, d’Afrique, du sud de l’Asie, d’Indonésie et d’Australie.
Ils quittent les aires de reproduction entre juillet et septembre. Les juvéniles partent 5-6 semaines après les adultes.
La migration pré-nuptiale commence en avril. Les juvéniles et les autres non-reproducteurs restent dans les quartiers d'hivernage ou migrent partiellement vers le nord au cours de leur premier été.
Habitat :
Les oiseaux du continent américain nichent dans le haut Arctique canadien, dans la toundra où le sol est caillouteux et la végétation est rase.
En hivernage, il fréquente davantage les vasières et les plages ; mais également les marais salins et les prairies pour se nourrir et se regrouper en reposoir.
Il est commun sur l'archipel, il y est un hivernant régulier. Il peut être observé toute l’année, mais il est le plus abondant d’août à mars.
Il se rencontre sur les vasières, les lagunes et les plages.
Conservation :
Le Pluvier argenté est inscrit dans la liste des espèces "à préoccupation modérée" au Canada. La population américaine est jugée en léger déclin en 2019.
Statut de conservation mondial (2019) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Menaces : perte de ses habitats, chasse durant sa migration, sensible aux dérangements humains sur ses sites d'hivernage (plages).
Réglementation :
La chasse du Pluvier argenté est autorisée à certaines dates en Guadeloupe, soumise à quota.
Pour les dates, il faut se référer à l'arrêté préfectoral.
Les limicoles font partie du groupe d’espèces d’oiseaux dont
les effectifs ont le plus diminué ces 50 dernières années.
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Charadarius squatarola (Linnaeus, 1758)
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Squatarola squatarola (Linnaeus, 1758)
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Tringa squatarola Linnaeus, 1758