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- 15 observations
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1
commune -
5
observateurs -
Première observation
1999 -
Dernière observation
2023
*Attention, l'ensemble des données présentées sur cette fiche est calculé et/ou diffusé à partir des données bancarisées sur
KaruNati,
la plateforme régionale du Système d'Information de l'iNventaire du Patrimoine naturel (SINP) de la Guadeloupe.
Les répartitions spatio-temporelles présentées sur cette fiche sont indicatives et ne peuvent être considérée comme une réalité exhaustive des
caractéristiques phénologiques de ce taxon, n'étant fondées que sur des observations ponctuelles.
Informations espèce
Description :
Le Pluvier bronzé est un oiseau limicole élancé de taille moyenne (environ 26 cm pour 120 g). Il possède de longues pattes noires et un bec noir court et droit.
En vol, son envergure est d'environ 70 cm, et on peut y apercevoir le dessous clair de ses ailes et la base sombre de sa queue.
Son plumage se modifie au cours de sa vie.
Plumage nuptial : contrasté ; dos sombre parsemé de taches blanches et de couleur bronze ; entre et face noir ; sourcil blanc se prolongeant sur le cou.
Plumage juvénile et hivernal : plus terne ; dos gris foncé tacheté de blanc, ventre gris clair moucheté de brun ; sourcil blanc.
Répartition :
Le Pluvier bronzé est une espèce américaine se reproduisant dans les régions arctiques et subarctiques.
Son aire principale d’hivernage se situe en Amérique du Sud. Néanmoins, certains individus hivernent le long des côtes atlantiques et du Golfe du Mexique, en Amérique centrale, et dans le nord de l’Amérique du Sud le long de la voie migratoire.
Ce pluvier peut parcourir jusqu’à 30 000 km par an, une des espèces d’oiseaux réalisant les plus grandes migrations. Il est capable de parcourir 5 000 km audessus d’un océan sans se poser.
Durant sa migration postnuptiale (vers le sud), une partie de la population survole l’Atlantique Ouest. En revanche, lors de sa migration prénuptiale (vers le nord), les individus transitent surtout par le continent !
Habitat :
Le Pluvier bronzé niche dans la toundra arctique et subarctique.
Pendant la migration et en hivernage, il fréquente une multitude de milieux : prairies naturelles, champs de jeunes pousses, champs moissonnés ou brûlés, labours, pâturages, terrains de golf, pelouses d’aéroports, vasières, rivages côtiers et fluviaux.
Il est commun durant sa migration postnuptiale (septembre-novembre), dans les prairies rases, les labours, les vasières et les plages.
Il y est très rare en hivernage et durant la migration prénuptiale.
Conservation :
Sa chasse est interdite au Canada et aux USA depuis 1918. Il est classé "oiseaux à conservation préoccupante" aux USA depuis 2016, suite au déclin prononcé des effectifs.
Statut de conservation mondial (2016) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : NT "Near Threatened / Quasi menacé".
Menaces : perte de ses habitats, chasse durant sa migration, exposition aux pesticides dans les milieux agricoles et changements climatiques.
Réglementation :
La chasse du Pluvier bronzé est autorisée à certaines dates en Guadeloupe, soumise à quota.
Pour les dates, il faut se référer à l'arrêté préfectoral.
Le Pluvier bronzé est un oiseau limicole élancé de taille moyenne (environ 26 cm pour 120 g). Il possède de longues pattes noires et un bec noir court et droit.
En vol, son envergure est d'environ 70 cm, et on peut y apercevoir le dessous clair de ses ailes et la base sombre de sa queue.
Son plumage se modifie au cours de sa vie.
Plumage nuptial : contrasté ; dos sombre parsemé de taches blanches et de couleur bronze ; entre et face noir ; sourcil blanc se prolongeant sur le cou.
Plumage juvénile et hivernal : plus terne ; dos gris foncé tacheté de blanc, ventre gris clair moucheté de brun ; sourcil blanc.
Répartition :
Le Pluvier bronzé est une espèce américaine se reproduisant dans les régions arctiques et subarctiques.
Son aire principale d’hivernage se situe en Amérique du Sud. Néanmoins, certains individus hivernent le long des côtes atlantiques et du Golfe du Mexique, en Amérique centrale, et dans le nord de l’Amérique du Sud le long de la voie migratoire.
Ce pluvier peut parcourir jusqu’à 30 000 km par an, une des espèces d’oiseaux réalisant les plus grandes migrations. Il est capable de parcourir 5 000 km audessus d’un océan sans se poser.
Durant sa migration postnuptiale (vers le sud), une partie de la population survole l’Atlantique Ouest. En revanche, lors de sa migration prénuptiale (vers le nord), les individus transitent surtout par le continent !
Habitat :
Le Pluvier bronzé niche dans la toundra arctique et subarctique.
Pendant la migration et en hivernage, il fréquente une multitude de milieux : prairies naturelles, champs de jeunes pousses, champs moissonnés ou brûlés, labours, pâturages, terrains de golf, pelouses d’aéroports, vasières, rivages côtiers et fluviaux.
Il est commun durant sa migration postnuptiale (septembre-novembre), dans les prairies rases, les labours, les vasières et les plages.
Il y est très rare en hivernage et durant la migration prénuptiale.
Conservation :
Sa chasse est interdite au Canada et aux USA depuis 1918. Il est classé "oiseaux à conservation préoccupante" aux USA depuis 2016, suite au déclin prononcé des effectifs.
Statut de conservation mondial (2016) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : NT "Near Threatened / Quasi menacé".
Menaces : perte de ses habitats, chasse durant sa migration, exposition aux pesticides dans les milieux agricoles et changements climatiques.
Réglementation :
La chasse du Pluvier bronzé est autorisée à certaines dates en Guadeloupe, soumise à quota.
Pour les dates, il faut se référer à l'arrêté préfectoral.
Les limicoles font partie du groupe d’espèces d’oiseaux dont
les effectifs ont le plus diminué ces 50 dernières années.
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Charadrius dominicius Statius Müller, 1776
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Charadrius dominicus Müller, 1776
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