Chevalier solitaire
Tringa solitaria Wilson, 1813
Chargement...
- 24 observations
-
10
communes -
13
observateurs -
Première observation
2007 -
Dernière observation
2023
*Attention, l'ensemble des données présentées sur cette fiche est calculé et/ou diffusé à partir des données bancarisées sur
KaruNati,
la plateforme régionale du Système d'Information de l'iNventaire du Patrimoine naturel (SINP) de la Guadeloupe.
Les répartitions spatio-temporelles présentées sur cette fiche sont indicatives et ne peuvent être considérée comme une réalité exhaustive des
caractéristiques phénologiques de ce taxon, n'étant fondées que sur des observations ponctuelles.
Informations espèce
Description :
Le Chevalier solitaire est un oiseau limicole élancé de taille moyenne (environ 22 cm pour 50 g). Il possède de courtes pattes vertes olive et un bec long droit et fin.
En vol, son envergure est d'environ 56 cm, et on peut y apercevoir sa queue avec une bande noire médiane, bordée de blanc et rayée de noir de chaque coté.
Son plumage présente un dos brun finement tacheté de blanc, son cou est rayé de brun noirâtre, son ventre est blanc, et il possède un cercle oculaire blanc très marqué.
De plus, le Chevalier solitaire hoche souvent de la queue
Répartition :
Le Chevalier solitaire est une espèce américaine, il y a deux sous-espèces. Son aire de reproduction est vaste, il niche en forêt boréale (taïga) d’Alaska et du Canada.
Il hiverne en Amérique centrale, dans la Caraïbe et en Amérique du Sud (à l’exception du Chili d’une grande partie sud de l’Argentine et du Pérou).
Il migre rarement en groupe et transite par l’intérieur sur un large front (centre et est des États-Unis).
Après la reproduction, une partie des individus passent apparemment au-dessus de l’ouest de l’Atlantique, directement des provinces canadiennes maritimes, vers le Nord de l’Amérique du Sud. Les deux sous-espèces se mélangent sur les aires d’hivernage.
Habitat :
En reproduction, il niche en forêt humide boréale, habituellement en terrain plutôt découvert avec des arbres dispersés.
En migration et en hivernage, il est plus abondant en milieu d’eau douce dans les terres, au niveau des prairies humides, des fossés et mares temporaires faites d’eau stagnante.
Le Chevalier solitaire est commun, il est le plus souvent solitaire. Il est visible en plus grand nombre en migration postnuptiale (juillet à novembre) et il présent en hivernage (décembre à avril).
Dans les terres et près de la côte, il fréquente surtout les marais de mangrove, les mares à bétail, les bords de canaux urbains.
Conservation :
Le Chevalier solitaire est inscrit dans la liste des espèces "à préoccupation modérée" au Canada. La population est jugée stable en 2019.
Statut de conservation mondial (2018) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Menaces : perte de ses habitats, changements climatiques et pollution.
Réglementation :
Le Chevalier solitaire est NON CHASSABLE en Guadeloupe par arrêté préfectoral.
Le Chevalier solitaire est un oiseau limicole élancé de taille moyenne (environ 22 cm pour 50 g). Il possède de courtes pattes vertes olive et un bec long droit et fin.
En vol, son envergure est d'environ 56 cm, et on peut y apercevoir sa queue avec une bande noire médiane, bordée de blanc et rayée de noir de chaque coté.
Son plumage présente un dos brun finement tacheté de blanc, son cou est rayé de brun noirâtre, son ventre est blanc, et il possède un cercle oculaire blanc très marqué.
De plus, le Chevalier solitaire hoche souvent de la queue
Répartition :
Le Chevalier solitaire est une espèce américaine, il y a deux sous-espèces. Son aire de reproduction est vaste, il niche en forêt boréale (taïga) d’Alaska et du Canada.
Il hiverne en Amérique centrale, dans la Caraïbe et en Amérique du Sud (à l’exception du Chili d’une grande partie sud de l’Argentine et du Pérou).
Il migre rarement en groupe et transite par l’intérieur sur un large front (centre et est des États-Unis).
Après la reproduction, une partie des individus passent apparemment au-dessus de l’ouest de l’Atlantique, directement des provinces canadiennes maritimes, vers le Nord de l’Amérique du Sud. Les deux sous-espèces se mélangent sur les aires d’hivernage.
Habitat :
En reproduction, il niche en forêt humide boréale, habituellement en terrain plutôt découvert avec des arbres dispersés.
En migration et en hivernage, il est plus abondant en milieu d’eau douce dans les terres, au niveau des prairies humides, des fossés et mares temporaires faites d’eau stagnante.
Le Chevalier solitaire est commun, il est le plus souvent solitaire. Il est visible en plus grand nombre en migration postnuptiale (juillet à novembre) et il présent en hivernage (décembre à avril).
Dans les terres et près de la côte, il fréquente surtout les marais de mangrove, les mares à bétail, les bords de canaux urbains.
Conservation :
Le Chevalier solitaire est inscrit dans la liste des espèces "à préoccupation modérée" au Canada. La population est jugée stable en 2019.
Statut de conservation mondial (2018) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Menaces : perte de ses habitats, changements climatiques et pollution.
Réglementation :
Le Chevalier solitaire est NON CHASSABLE en Guadeloupe par arrêté préfectoral.
Les limicoles font partie du groupe d’espèces d’oiseaux dont
les effectifs ont le plus diminué ces 50 dernières années.
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Pas de synonyme pour ce taxon