Ucides cordatus (Linnaeus, 1763)
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Première observation
2008 -
Dernière observation
2008
*Attention, l'ensemble des données présentées sur cette fiche est calculé et/ou diffusé à partir des données bancarisées sur
KaruNati,
la plateforme régionale du Système d'Information de l'iNventaire du Patrimoine naturel (SINP) de la Guadeloupe.
Les répartitions spatio-temporelles présentées sur cette fiche sont indicatives et ne peuvent être considérée comme une réalité exhaustive des
caractéristiques phénologiques de ce taxon, n'étant fondées que sur des observations ponctuelles.
Informations espèce
Ucides cordatus est un crabe appartenant à la famille des Ucididés.
Traits physiques
Le crabe à barbe a une carapace épaisse de forme bombée et creuse au milieu du dos. Elle est ornée a ce niveau d’un H sombre. Les mâles ont des pattes recouvertes de longues soies d’où leurs nom de « Crabe à barbes » alors que chez les femelles, les soies sont courtes. La carapace est de couleur jaunâtre avec des tâches violacées principalement au niveau des pattes et des pinces dont le bout est blanc. Les individus dont la largeur de la carapace est supérieure à 45 mm sont considérés comme étant adultes.
Ecologie
Le crabe à barbe affectionne les zones de mangrove où le sol est imbibé d’eau, pour y creuser son terrier. Il se nourrit de la litière de la mangrove en décomposition (feuillage, racine, fruits, etc.). La période de reproduction s’étend de mai à septembre. La femelle peut porter entre 36 000 et 250 000 œufs. L’accouplement se passe à marée basse, la nuit, sur les plages vaseuses, à l’entrée des terriers et sur les racines du palétuvier rouge (Rhizophora mangle). Il est étroitement lié à la saison des pluies. Il a lieu à la pleine lune ou à la nouvelle lune.
Répartition
Largement répartie dans le bassin caribéen, en Amérique du sud et Amérique centrale. On le retrouve dans les milieux humides bordant les côtes.
Statut de conservation
L’espèce n’est pas inscrite sur la liste rouge de l’UICN.
Protection
Selon les articles 13, 17 et 18 de l’arrêté portant réglementation de l’exercice de la pêche maritime de loisir en Guadeloupe et à Saint-Martin, il est vu que : seul les boîtes à crabes comportant une ouverture laissant le passage des crabes de taille inférieure à 60 mm est autorisé / la capture, la conservation ou l’achat des crabes de terre (Cardisoma guanhumi) et crabe à barbes (Ucides cardatus) sont interdits du 16 mai au 30 septembre / il est autorisé 20 crabes par pêcheurs maximum et des individus de taille supérieure à 60mm uniquement.
Menaces
Le crabe à barbe ne fait pas l’objet du même engouement que le crabe blanc de la part des consommateurs. Cependant la diminution de l’offre des crabes blancs semble favoriser une demande accrue du crabe à barbe. Ce prélèvement s’accentuant devient un facteur aggravant pour le renouvellement des stocks. La destruction de son habitat avec l’artificialisation des zones humides et la pollution venant des zones agricoles et urbaines participent également au déclin.
Traits physiques
Le crabe à barbe a une carapace épaisse de forme bombée et creuse au milieu du dos. Elle est ornée a ce niveau d’un H sombre. Les mâles ont des pattes recouvertes de longues soies d’où leurs nom de « Crabe à barbes » alors que chez les femelles, les soies sont courtes. La carapace est de couleur jaunâtre avec des tâches violacées principalement au niveau des pattes et des pinces dont le bout est blanc. Les individus dont la largeur de la carapace est supérieure à 45 mm sont considérés comme étant adultes.
Ecologie
Le crabe à barbe affectionne les zones de mangrove où le sol est imbibé d’eau, pour y creuser son terrier. Il se nourrit de la litière de la mangrove en décomposition (feuillage, racine, fruits, etc.). La période de reproduction s’étend de mai à septembre. La femelle peut porter entre 36 000 et 250 000 œufs. L’accouplement se passe à marée basse, la nuit, sur les plages vaseuses, à l’entrée des terriers et sur les racines du palétuvier rouge (Rhizophora mangle). Il est étroitement lié à la saison des pluies. Il a lieu à la pleine lune ou à la nouvelle lune.
Répartition
Largement répartie dans le bassin caribéen, en Amérique du sud et Amérique centrale. On le retrouve dans les milieux humides bordant les côtes.
Statut de conservation
L’espèce n’est pas inscrite sur la liste rouge de l’UICN.
Protection
Selon les articles 13, 17 et 18 de l’arrêté portant réglementation de l’exercice de la pêche maritime de loisir en Guadeloupe et à Saint-Martin, il est vu que : seul les boîtes à crabes comportant une ouverture laissant le passage des crabes de taille inférieure à 60 mm est autorisé / la capture, la conservation ou l’achat des crabes de terre (Cardisoma guanhumi) et crabe à barbes (Ucides cardatus) sont interdits du 16 mai au 30 septembre / il est autorisé 20 crabes par pêcheurs maximum et des individus de taille supérieure à 60mm uniquement.
Menaces
Le crabe à barbe ne fait pas l’objet du même engouement que le crabe blanc de la part des consommateurs. Cependant la diminution de l’offre des crabes blancs semble favoriser une demande accrue du crabe à barbe. Ce prélèvement s’accentuant devient un facteur aggravant pour le renouvellement des stocks. La destruction de son habitat avec l’artificialisation des zones humides et la pollution venant des zones agricoles et urbaines participent également au déclin.
Cancer cordatus Linnaeus, 1763
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Cancer uca Linnaeus, 1767
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Ocypode fossor Latreille, 1802
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Uca pilosipes Gill, 1859
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