Bécassine de Wilson
Gallinago delicata (Ord, 1825)
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- 9 observations
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5
communes -
6
observateurs -
Première observation
2015 -
Dernière observation
2022
*Attention, l'ensemble des données présentées sur cette fiche est calculé et/ou diffusé à partir des données bancarisées sur
KaruNati,
la plateforme régionale du Système d'Information de l'iNventaire du Patrimoine naturel (SINP) de la Guadeloupe.
Les répartitions spatio-temporelles présentées sur cette fiche sont indicatives et ne peuvent être considérée comme une réalité exhaustive des
caractéristiques phénologiques de ce taxon, n'étant fondées que sur des observations ponctuelles.
Informations espèce
Description :
La Bécassine de Wilson est un oiseau limicole trapu de taille moyenne (environ 27 cm pour 105 g). Elle possède des pattes jaune gris et un très long bec droit et épais de couleur plus sombre vers la pointe.
En vol, son envergure est d'environ 46 cm, et ses déplacements sont rapides et en zigzag. On peut y apercevoir les quatre raies claires sur son dos.
Ses plumages nuptial, internuptial et juvéniles sont très peu différents. Ses plumes sont brunes-rousse et sa tête rayée, sa poitrine tachetée, ses flancs barrés et son ventre est blanc
Répartition :
Il s'agit d'une espèce américaine, à large aire de reproduction qui s'étend sur presque l'ensemble du Canada, et le nord des Etats-Unis y compris l'Alaska.
Elle hiverne sur une grande partie sud des Etats-Unis, l'Amérique centrale, la Caraïbe et l'extrême nord de l'Amérique du Sud Colombie, Vénézuela, Guyane, Suriname).
La Bécassine de Wilson est migratrice, cependant pas au long cours.
D'ailleurs, dans le nord ouest des Etats-Unis et sud-ouest du Canada, des individus sont présents à l'année.
Habitat :
En reproduction, elle occupe aussi bien la toundra, la taïga, que des secteurs de milieux naturels tempérés.
En hivernage, la Bécassine de Wilson recherche les zones humides avec un cuvert végétal afin de se dissimuler, c'est une espèce particulièrement discrète.
Elle est peu commune en migration postnuptiale et en hivernage, soit de septembre à mars.
Elle occupe alors les mares pour le bétail, les zones inondées (savanes et les champs à végétation rase) et les bordures de mangrove. Certains individus peuvent rester jusqu'à mi-avril si la mangrove n'est pas complètement asséchée.
Conservation :
La Bécassine de Wilson est inscrite dans la liste des espèces "à préoccupaton mineure" au Canada. La population est jugée stable en 2019.
Statut de conservation mondial (2020) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure"
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure"
Menaces : perte de ses habitats et changements climatiques.
Réglementation :
La chasse de la Bécassine de Wilson est autorisée en Guadeloupe tous les jours sauf le mercredi, soumis à quota, de mi-juillet à début janvier.
La Bécassine de Wilson est un oiseau limicole trapu de taille moyenne (environ 27 cm pour 105 g). Elle possède des pattes jaune gris et un très long bec droit et épais de couleur plus sombre vers la pointe.
En vol, son envergure est d'environ 46 cm, et ses déplacements sont rapides et en zigzag. On peut y apercevoir les quatre raies claires sur son dos.
Ses plumages nuptial, internuptial et juvéniles sont très peu différents. Ses plumes sont brunes-rousse et sa tête rayée, sa poitrine tachetée, ses flancs barrés et son ventre est blanc
Répartition :
Il s'agit d'une espèce américaine, à large aire de reproduction qui s'étend sur presque l'ensemble du Canada, et le nord des Etats-Unis y compris l'Alaska.
Elle hiverne sur une grande partie sud des Etats-Unis, l'Amérique centrale, la Caraïbe et l'extrême nord de l'Amérique du Sud Colombie, Vénézuela, Guyane, Suriname).
La Bécassine de Wilson est migratrice, cependant pas au long cours.
D'ailleurs, dans le nord ouest des Etats-Unis et sud-ouest du Canada, des individus sont présents à l'année.
Habitat :
En reproduction, elle occupe aussi bien la toundra, la taïga, que des secteurs de milieux naturels tempérés.
En hivernage, la Bécassine de Wilson recherche les zones humides avec un cuvert végétal afin de se dissimuler, c'est une espèce particulièrement discrète.
Elle est peu commune en migration postnuptiale et en hivernage, soit de septembre à mars.
Elle occupe alors les mares pour le bétail, les zones inondées (savanes et les champs à végétation rase) et les bordures de mangrove. Certains individus peuvent rester jusqu'à mi-avril si la mangrove n'est pas complètement asséchée.
Conservation :
La Bécassine de Wilson est inscrite dans la liste des espèces "à préoccupaton mineure" au Canada. La population est jugée stable en 2019.
Statut de conservation mondial (2020) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure"
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure"
Menaces : perte de ses habitats et changements climatiques.
Réglementation :
La chasse de la Bécassine de Wilson est autorisée en Guadeloupe tous les jours sauf le mercredi, soumis à quota, de mi-juillet à début janvier.
Les limicoles font partie du groupe d’espèces d’oiseaux dont
les effectifs ont le plus diminué ces 50 dernières années.
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Gallinago gallinago delicata (Ord, 1825)
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Scolopax delicata Ord, 1825