Amphicyclotulus schrammi (Shuttleworth, 1857)
Classe :
Gastropoda
Ordre :
Architaenioglossa
Famille :
Neocyclotidae
Sous-Famille :
Amphicyclotinae
Genre :
Amphicyclotulus
-
24
observations -
6
communes -
5
observateurs -
Première observation
1999 -
Dernière observation
2019
*Attention, l'ensemble des données présentées sur cette fiche est calculé et/ou diffusé à partir des données bancarisées sur
KaruNati,
la plateforme régionale du Système d'Information de l'iNventaire du Patrimoine naturel (SINP) de la Guadeloupe.
Les répartitions spatio-temporelles présentées sur cette fiche sont indicatives et ne peuvent être considérée comme une réalité exhaustive des
caractéristiques phénologiques de ce taxon, n'étant fondées que sur des observations ponctuelles.
Informations espèce
Traits physiques :
Petit gastéropode, il ne dépasse en effet ni 15 mm de diamètre ni 10 mm de haut. Il possède une coquille hélicoïdale verte olive. La fine couche la plus externe de la coquille (périostracum) est de couleur cire.
Les verticilles, c’est-à-dire les sillons de la coquille dûs à la croissance en spirale du mollusque, sont arrondis, lisses et certains sont marqués par des cordons spiralés légèrement carénés. De fines stries de croissance sont observables sur la coquille.
L'ombilic, un petit orifice au centre de la coquille, est d'environ ¼ du diamètre maximal de la coquille. L'ouverture est peu oblique, presque circulaire. Le corps est blanc teinté de jaune, ses tentacules sont pourpres orangés.
Ecologie :
Ce mollusque terrestre vit et se nourrit dans la litière du sol, en décomposant la matière organique morte, c’est donc un saprophyte et un décomposeur. Il est important pour le cycle de la matière (et donc le cycle du carbone). Sa présence est bio-indicatrice de la qualité des sols.
Répartition
Endémique de la Basse-Terre.
Statut de conservation
EN : classé en Danger par l’UICN.
Menace
Il est sensible à la pollution agricole (pesticides...) et soumis à la compétition avec d'autres espèces d'escargots invasifs. Enfin, il est menacé de par la prédation exercée par les Plathelminthes, des vers plats carnivores exotiques et envahissants.
Protection
Endémique de la Basse Terre dont une grande partie de la surface se trouve en cœur de parc national de la Guadeloupe, il bénéficie de la stricte réglementation qui y règne. Il est interdit de les prélever, de les tuer ou mutiler et de les sortir de la zone de cœur.
? Le Saviez-vous ?
Son nom « Schrammi » vient du collectionneur Alphonse Schramm (1827-1875) qui a contribué à la recherche de mollusque sur l’île de Guadeloupe et qui a également fourni une partie de sa collection à l’Exposition universelle de Paris de 1867.
Même si leurs noms paraissent proches, Helicina schrammi ne fait pas partie du même ordre : le Cyclostome de Schramm fait partie des Architaenioglossa et l’Hélicine de Schramm des Cycloneritida.
Petit gastéropode, il ne dépasse en effet ni 15 mm de diamètre ni 10 mm de haut. Il possède une coquille hélicoïdale verte olive. La fine couche la plus externe de la coquille (périostracum) est de couleur cire.
Les verticilles, c’est-à-dire les sillons de la coquille dûs à la croissance en spirale du mollusque, sont arrondis, lisses et certains sont marqués par des cordons spiralés légèrement carénés. De fines stries de croissance sont observables sur la coquille.
L'ombilic, un petit orifice au centre de la coquille, est d'environ ¼ du diamètre maximal de la coquille. L'ouverture est peu oblique, presque circulaire. Le corps est blanc teinté de jaune, ses tentacules sont pourpres orangés.
Ecologie :
Ce mollusque terrestre vit et se nourrit dans la litière du sol, en décomposant la matière organique morte, c’est donc un saprophyte et un décomposeur. Il est important pour le cycle de la matière (et donc le cycle du carbone). Sa présence est bio-indicatrice de la qualité des sols.
Répartition
Endémique de la Basse-Terre.
Statut de conservation
EN : classé en Danger par l’UICN.
Menace
Il est sensible à la pollution agricole (pesticides...) et soumis à la compétition avec d'autres espèces d'escargots invasifs. Enfin, il est menacé de par la prédation exercée par les Plathelminthes, des vers plats carnivores exotiques et envahissants.
Protection
Endémique de la Basse Terre dont une grande partie de la surface se trouve en cœur de parc national de la Guadeloupe, il bénéficie de la stricte réglementation qui y règne. Il est interdit de les prélever, de les tuer ou mutiler et de les sortir de la zone de cœur.
? Le Saviez-vous ?
Son nom « Schrammi » vient du collectionneur Alphonse Schramm (1827-1875) qui a contribué à la recherche de mollusque sur l’île de Guadeloupe et qui a également fourni une partie de sa collection à l’Exposition universelle de Paris de 1867.
Même si leurs noms paraissent proches, Helicina schrammi ne fait pas partie du même ordre : le Cyclostome de Schramm fait partie des Architaenioglossa et l’Hélicine de Schramm des Cycloneritida.
Amphicyclotulus (Amphicyclotulus) schrammi (Shuttleworth, 1857)
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Amphicyclotus schrammi (Shuttleworth, 1857)
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Austrocyclotus schrammi
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Cyclostoma (Cyclophorus) schrammi Shuttleworth, 1857
