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- 29 observations
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3
communes -
6
observateurs -
Première observation
2006 -
Dernière observation
2023
*Attention, l'ensemble des données présentées sur cette fiche est calculé et/ou diffusé à partir des données bancarisées sur
KaruNati,
la plateforme régionale du Système d'Information de l'iNventaire du Patrimoine naturel (SINP) de la Guadeloupe.
Les répartitions spatio-temporelles présentées sur cette fiche sont indicatives et ne peuvent être considérée comme une réalité exhaustive des
caractéristiques phénologiques de ce taxon, n'étant fondées que sur des observations ponctuelles.
Informations espèce
Description :
Le Bécasseau à poitrine cendrée est un oiseau limicole élancé de taille moyenne (environ 22 cm pour 73 g). Il possède de longues pattes jaune verdâtre et un court bec jaune à pointe sombre.
En vol, son envergure est d'environ 46 cm, et on peut y apercevoir le dessus des ailes uni et sa queue avec une bande noire médiane bordée de blanc de chaque coté.
Son plumage se modifie au cours de sa vie.
Plumage internuptial : dos brun à liséré roux et blanc ; poitrine fortement tachetée, ventre blanc.
Plumage nuptial : dessus encore plus marqué de roux ; poitrine encore plus tachetée.
Plumage juvénile : dessus encore plus marqué de roux ; poitrine chamois à taches noires.
Répartition :
Il n'y a pas de sous-espèce, néanmoins il se distingue deux populations. Une population "américaine" dont l'aire de reproduction s'étend de l’Alaska jusqu’à l’ouest de la Baie d’Hudson (Canada) ; une autre "sibérienne" située dans le nord-est de la Russie depuis la péninsule du Taïmyr.
La population américaine et une partie de celle de Sibérie hivernent en Amérique du Sud.
Il rejoint ses quartiers d'hivernage en Amérique du Sud en transitant par un large couloir migratoire localisé sur la moitié est de l’Amérique du Nord, et ensuite par l'Amérique centrale et la Caraïbe.
Il hiverne dans une vaste partie nord de l'Amérique du Sud, avec comme limite le nord du Chili, le nord de l'Argentine et l'est du Brésil.
Habitat :
Il niche dans la toundra du haut arctique nord américain, où la végétation de mousses et de lichens est basse.
En migration et en hivernage, ce bécasseau utilise une variété d’habitats d’eau douce et saumâtre, le long du littoral ou à l’intérieur des terres.
Il est commun, il est présent uniquement lors de la migration postnuptiale, soit de juillet à novembre.
Il fréquente toutes les zones humides avec une préférence pour l’eau douce, prairies inondées, champs labourés, champs de canne, du moment que la végétation y soit rase.
Conservation :
Ce bécasseau est inscrit dans la liste des espèces "à préoccupation modérée" au Canada. La population est jugée en déclin prononcé en 2019.
Statut de conservation mondial (2016) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Menaces : perte de ses habitats, chasse et changements climatiques.
Réglementation :
La chasse du Bécasseau à poitrine cendrée est autorisée à certaines dates en Guadeloupe et soumise à quota.
Pour les dates, il faut se référer à l'arrêté préfectoral.
Le Bécasseau à poitrine cendrée est un oiseau limicole élancé de taille moyenne (environ 22 cm pour 73 g). Il possède de longues pattes jaune verdâtre et un court bec jaune à pointe sombre.
En vol, son envergure est d'environ 46 cm, et on peut y apercevoir le dessus des ailes uni et sa queue avec une bande noire médiane bordée de blanc de chaque coté.
Son plumage se modifie au cours de sa vie.
Plumage internuptial : dos brun à liséré roux et blanc ; poitrine fortement tachetée, ventre blanc.
Plumage nuptial : dessus encore plus marqué de roux ; poitrine encore plus tachetée.
Plumage juvénile : dessus encore plus marqué de roux ; poitrine chamois à taches noires.
Répartition :
Il n'y a pas de sous-espèce, néanmoins il se distingue deux populations. Une population "américaine" dont l'aire de reproduction s'étend de l’Alaska jusqu’à l’ouest de la Baie d’Hudson (Canada) ; une autre "sibérienne" située dans le nord-est de la Russie depuis la péninsule du Taïmyr.
La population américaine et une partie de celle de Sibérie hivernent en Amérique du Sud.
Il rejoint ses quartiers d'hivernage en Amérique du Sud en transitant par un large couloir migratoire localisé sur la moitié est de l’Amérique du Nord, et ensuite par l'Amérique centrale et la Caraïbe.
Il hiverne dans une vaste partie nord de l'Amérique du Sud, avec comme limite le nord du Chili, le nord de l'Argentine et l'est du Brésil.
Habitat :
Il niche dans la toundra du haut arctique nord américain, où la végétation de mousses et de lichens est basse.
En migration et en hivernage, ce bécasseau utilise une variété d’habitats d’eau douce et saumâtre, le long du littoral ou à l’intérieur des terres.
Il est commun, il est présent uniquement lors de la migration postnuptiale, soit de juillet à novembre.
Il fréquente toutes les zones humides avec une préférence pour l’eau douce, prairies inondées, champs labourés, champs de canne, du moment que la végétation y soit rase.
Conservation :
Ce bécasseau est inscrit dans la liste des espèces "à préoccupation modérée" au Canada. La population est jugée en déclin prononcé en 2019.
Statut de conservation mondial (2016) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Menaces : perte de ses habitats, chasse et changements climatiques.
Réglementation :
La chasse du Bécasseau à poitrine cendrée est autorisée à certaines dates en Guadeloupe et soumise à quota.
Pour les dates, il faut se référer à l'arrêté préfectoral.
Les limicoles font partie du groupe d’espèces d’oiseaux dont
les effectifs ont le plus diminué ces 50 dernières années.
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Erolia melanotos (Vieillot, 1819)
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Heteropygia melanotos (Vieillot, 1819)
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Tringa melanotos Vieillot, 1819