Tringa melanoleuca (Gmelin, 1789)
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- 45 observations
-
5
communes -
12
observateurs -
Première observation
2005 -
Dernière observation
2022
*Attention, l'ensemble des données présentées sur cette fiche est calculé et/ou diffusé à partir des données bancarisées sur
KaruNati,
la plateforme régionale du Système d'Information de l'iNventaire du Patrimoine naturel (SINP) de la Guadeloupe.
Les répartitions spatio-temporelles présentées sur cette fiche sont indicatives et ne peuvent être considérée comme une réalité exhaustive des
caractéristiques phénologiques de ce taxon, n'étant fondées que sur des observations ponctuelles.
Informations espèce
Description :
Le Grand Chevalier est un oiseau limicole élancé de taille moyenne (environ 35 cm pour 160 g). Il possède de longues pattes jaunes ou orange et un long bec fin à base claire légèrement courbé vers le haut.
En vol, son envergure est d'environ 70 cm, et on peut y apercevoir la base blanche de sa queue et les extrémités noires sur la partie supérieure de ses ailes.
Il est très semblable au Petit Chevalier, seules la taille de l'individu et la longueur du bec les différencient.
Son plumage est brun foncé sur le dessus et tacheté de blanc, sa tête, son cou et sa poitrine sont gris finement rayés de blanc, et le dessous de son corps est blanc.
Répartition :
Le Grand Chevalier est une espèce américaine pour laquelle il n'y a pas de sous-espèce. Son aire de reproduction est très large, elle s'étend sur toute partie centrale du Canada et du sud de l'Alaska.
Il hiverne du sud des États-Unis jusqu’à l'extrémité sud de l'Amérique du Sud, y compris en Amérique centrale et dans la Caraïbe.
Il migre sur un large front couvrant l'ensemble des États-Unis. Durant sa migration postnuptiale en direction de l'Amérique du Sud, les oiseaux de la côte est transitent le long de la côte atlantique et passent ensuite par la Caraïbe. Le plateau des Guyanes semble accueillir les plus gros effectifs.
De nombreux oiseaux non-reproducteurs, restent sur les sites d'hivernage toute l'année.
Habitat :
En période de reproduction, il niche dans la taïga. En migration et en hivernage, il est présent dans une grande variété de milieux côtiers ou intérieurs, souvent avec de la végétation en développement.
Il fréquente les marais, les lagunes, les vasières, les salines, et également les terres arables et les prairies inondées.
Le Grand Chevalier est commun. Présent presque toute l'année, il est tout de même plus abondant d'août à novembre lors de la migration postnuptiale.
Il est observable dans les marais côtiers, les lagunes, les vasières de mangrove, dans les canaux urbains et dans les champs inondés.
Conservation :
Le Grand Chevalier est inscrit dans la liste des espèces "préoccupation majeure" au Canada. La population est jugée stable en 2019.
Statut de conservation mondial (2016) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Menaces : perte de ses habitats, exposition aux pesticides, changements climatiques et chasse importante durant ses migrations et en hivernage.
Réglementation :
La chasse du Grand Chevalier est autorisée à certaines dates en Guadeloupe, soumise à quota.
Pour les dates, il faut se référer à l'arrêté préfectoral.
Le Grand Chevalier est un oiseau limicole élancé de taille moyenne (environ 35 cm pour 160 g). Il possède de longues pattes jaunes ou orange et un long bec fin à base claire légèrement courbé vers le haut.
En vol, son envergure est d'environ 70 cm, et on peut y apercevoir la base blanche de sa queue et les extrémités noires sur la partie supérieure de ses ailes.
Il est très semblable au Petit Chevalier, seules la taille de l'individu et la longueur du bec les différencient.
Son plumage est brun foncé sur le dessus et tacheté de blanc, sa tête, son cou et sa poitrine sont gris finement rayés de blanc, et le dessous de son corps est blanc.
Répartition :
Le Grand Chevalier est une espèce américaine pour laquelle il n'y a pas de sous-espèce. Son aire de reproduction est très large, elle s'étend sur toute partie centrale du Canada et du sud de l'Alaska.
Il hiverne du sud des États-Unis jusqu’à l'extrémité sud de l'Amérique du Sud, y compris en Amérique centrale et dans la Caraïbe.
Il migre sur un large front couvrant l'ensemble des États-Unis. Durant sa migration postnuptiale en direction de l'Amérique du Sud, les oiseaux de la côte est transitent le long de la côte atlantique et passent ensuite par la Caraïbe. Le plateau des Guyanes semble accueillir les plus gros effectifs.
De nombreux oiseaux non-reproducteurs, restent sur les sites d'hivernage toute l'année.
Habitat :
En période de reproduction, il niche dans la taïga. En migration et en hivernage, il est présent dans une grande variété de milieux côtiers ou intérieurs, souvent avec de la végétation en développement.
Il fréquente les marais, les lagunes, les vasières, les salines, et également les terres arables et les prairies inondées.
Le Grand Chevalier est commun. Présent presque toute l'année, il est tout de même plus abondant d'août à novembre lors de la migration postnuptiale.
Il est observable dans les marais côtiers, les lagunes, les vasières de mangrove, dans les canaux urbains et dans les champs inondés.
Conservation :
Le Grand Chevalier est inscrit dans la liste des espèces "préoccupation majeure" au Canada. La population est jugée stable en 2019.
Statut de conservation mondial (2016) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Statut de conservation en Guadeloupe (2021) : LC "Least Concern / Préoccupation mineure".
Menaces : perte de ses habitats, exposition aux pesticides, changements climatiques et chasse importante durant ses migrations et en hivernage.
Réglementation :
La chasse du Grand Chevalier est autorisée à certaines dates en Guadeloupe, soumise à quota.
Pour les dates, il faut se référer à l'arrêté préfectoral.
Les limicoles font partie du groupe d’espèces d’oiseaux dont
les effectifs ont le plus diminué ces 50 dernières années.
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Au Canada, il a été évalué une baisse moyenne de 40 % des effectifs depuis 1970, avec une décroissance allant à 52 % pour les espèces migrant sur de grandes distances.
Les limicoles dépendent des régions côtières et des milieux humides intérieurs pour leur reproduction, leur migration et leur hivernage.
L’aménagement des côtes et d’autres perturbations d’origine humaine entraînent la perte de nombreuses zones vitales pour ces oiseaux.
Pour plus d’informations sur les limicoles de Guadeloupe
http://limicolesdesantilles.com/
Scolopax melanoleuca Gmelin, 1789
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Totanus melanoleucus (Gmelin, 1789)
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